Reconnaissance du mérite / l’ivoirien Siriki SANGARE reçoit une distinction à Beijing (Pékin), en Chine

Sur invitation de l’honorable Sun Zhiquiang , député de Pékin et Président de la Fédération de commerce et d’industrie de Pékin , le président de la Chambre Nationale des Promoteurs et Constructeurs Agréés de Côte d’Ivoire et Pdg d’Opes Holding ,Siriki Sangaré a effectué une visite de travail et d’amitié à Pékin , en Chine , du lundi 21 août au vendredi 25 août sanctionnée par la reconnaissance de son mérite et tous ses efforts à développer la collaboration et le commerce entre la Chine et la Côte d’Ivoire .Surtout en matière de logements sociaux et économiques.

Cette visite de travail était meublée de visites d’usines de fabrication de matériaux de construction et de technologie , des rencontres avec des investisseurs avec des promesses d’investissements de la part de grands groupes chinois .Avec en prime , la volonté des partenaires chinois à créer très prochainement une ville nouvelle , une ville intelligente, une smart ville qu’on appellera China TOWN caractérisée par une technologie avancée et innovante avec toutes les commodités en la matière en Côte d’Ivoire. L’honorable et président de la fédération du commerce et d’industrie de Fangshan, Beijing, à pékin, Sun Zhiquiang avec, à ses côtés, des membres de la Chambre de commerce et d’industrie de Pékin, a loué les mérites du président de la Cnpc-Ci, Siriki Sangaré au regard de toutes les actions qu’il entreprend et projette d’entreprendre avec des partenaires chinois pour le développement des logements sociaux en Côte d’Ivoire.

« Je salue l’esprit de management , d’entrepreneuriat et de recherche permanente de partenaires économiques financiers et techniques du Président Sangaré Siriki à travers la chine en général et particulièrement pékin avec notre Chambre de commerce et d’industrie .J’en suis sûr, ces efforts qu’il déploie sans cesse pour nous motiver à davantage s’engager avec lui, pour l’essor des logements en Côte d’Ivoire répond à nos attentes .Nous sommes engagés avec lui, pour la réussite dudit projet. » ,a dit le président et honorable Zhiquiang, qui n’ a pas manqué, de décerner le Certificate of Badaling Creat wall ainsi qu’une haute distinction au Président Siriki SANGARE au nom de la Fédération du Commerce et d’Industrie de Pékin.

Le Président Sangaré Siriki de la Cnpc-Ci, à son tour, n’a pas manqué de traduire sa reconnaissance aux autorités chinoises « la ville de pékin avec son député et la Fédération du commerce et d’industrie de pékin avec à sa tête, son président Sun Zhiquiang m’honore, et à travers moi ,honore la Cnpc-ci et toute la côte d’Ivoire qui est résolument engagée à développer le secteur des logements sociaux et économiques », a affirmé le PDG d’Opes Holding et Président de la Cnpc-Ci, Siriki Sangaré.

Précisons à toutes fins utiles, que le président Siriki SANGARE avant la chine, a reçu plusieurs prix et distinctions dans de nombreux pays dont les Usa, la France, la Turquie, la Tunisie et les Emirats Arabes- Unis tant dans le domaine des Logements que de celui du management.

Sercom Cnpc-Ci et Opes Holding

Logements sociaux : Opes Holding échange avec ses souscripteurs

La société de promotion et de construction immobilière, Opes Holding a échangé, ce jeudi à son siège sis à Cocody , avec ses souscripteurs dans le cadre d’une série de rencontres qu’elle entreprend avec ces derniers.

Au cours de cette rencontre, le promoteur –constructeur Opes holding à travers son PDG Sangaré Siriki, et son DAF Karim Ouattara a rassuré, cette première vague de ses souscripteurs quant à l’avancée des travaux du programme présidentiel des logements sociaux , économiques et standing pilotés par son entreprise.

« Nous vous avons convié pour qu’ensemble, nous échangions sur les avancées de la Cité Opes 1 et sur les projets immobiliers Opes holding entrant dans le cadre du programme présidentiel des logements sociaux , économiques et standing » ,a d’emblée affirmé Karim Ouattara, DAF d’Opes Holding.

« Opes Holding SA a pu satisfaire la demande de ses souscripteurs pour le compte de la Cité Opes 1 et se tient toujours aux côtés de nos éventuels souscripteurs pour nos prochains sites de logements sociaux , économiques et standing tant à Abidjan que dans d’autres villes de la Côte d’Ivoire », a-t-il souligné.

Les souscripteurs et éventuels acquéreurs présents qui ont pu solder leur versement sur le compte séquestre et qui n’ont pu être pris en compte pour le site Opes 1, ont été informés de ce qu’ils seraient pris en compte prioritairement sur le site de la Cité OPES 2 qui sera toujours à Bingerville, dés que celui-ci sera effectif.

De même, le DAF Karim Ouattara a invité ceux des souscripteurs qui n’ont pas encore soldé les sommes dues pour l’acquisition de leurs maisons de continuer à le faire sur le compte séquestre de l’entreprise et de ne pas se désister dans le choix qu’ils ont fait de s’assurer un toit à Opes Holding.

Le PDG Siriki Sangaré a quant à lui traduit sa gratitude vis-à-vis des souscripteurs pour la confiance placée en Opes Holding en les encourageant à toujours faire confiance à OPES Holding qui se tiendra toujours de leurs côtés tout en leur promettant que ce type de rencontre se tiendra trimestriellement avec eux les souscripteurs afin de mieux répondre à leur besoin.

« Ce type de rencontre d’échanges est désormais une institution à Opes Holding avec vous nos souscripteurs et éventuels acquéreurs de logements. Sachiez que Opes Holding est toujours disposé à répondre à toutes vos préoccupations Ensemble avec vous nous parviendrons à nos objectifs. », a dit le PDG Siriki Sangaré tout en faisant confiance au Programme présidentiel des logements sociaux , économiques et standing lancé depuis 2013 par son excellence monsieur le président de la République de Côte d’Ivoire. Opes holding en plus de Bingerville, construit à Grand-Bassam et Aboisso.

Une autre rencontre est prévue dans les jours à venir avec d’autres souscripteurs.

Sercom Opes Holding

Action sociale : la fondation Magic System et Opes Holding SA offrent un centre pour orphelins à Port-bouet

Grâce à la fondation Magic System et son partenaire Opes Holding SA, les orphelins de l’ONG Oméga International plus auront un toit ou dormir. Les deux entités ont posé, vendredi, la première pierre d’un centre pour orphelins et déshérités à l’ONG qui exerce dans la commune de Port-bouet.

Cette action qui entre dans la continuité du FEMUA 10 a été l’occasion pour M. Sangaré Siriki, PDG Opes Holding SA de se réjouir d’avoir été associé à un tel événement : « Nous nous réjouissons d’avoir été associés à cet événement qui n’est pas le dernier cas nous allons continuer dans le même sens avec Magic System afin de participer de manière significative à l’épanouissement des couches les plus démunies»

Il n’a pas omis de lancer un appel à d’autres volontés pour s’inscrire dans la même action, car, dit-il, il n’y a pas que l’Etat qui doit faire de telles actions.

Le président de la fondation, Traoré Salif dit Asalfo a rappelé que ces actions se situent dans la continuité des actions sociales du FEMUA 10, indiquant que ce projet leur tenait à cœur.

Quant à Mariétou Koné, ministre de la Solidarité, de la femme et de la Protection de l’Enfant, elle a rendu un vibrant hommage à Magic System et à Opes Holding SA, qui, selon elle, ont compris le message du Gouvernement qui est la protection des enfants de Côte d’Ivoire.

« La Fondation Magic System et Opes Holding SA prolongent l’action du Gouvernement qui salue un geste symbolique, humanitaire et de charité » a-telle conclu.

Rappelons qu’en plus du logement social, la Fondation Magic System prévoit de construire à la faveur du FEMUA 10, deux écoles et un centre de santé cette année.

Atapointe

Financement de l’Habitat : la Chambre nationale des Promoteurs et Constructeurs de Côte d’Ivoire échange avec la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières

La Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm) et la Chambre nationale des Promoteurs et Constructeurs Agréés de Côte d’Ivoire ont échangé, ce lundi, sur les mécanismes de financement de l’habitat, lors d’une rencontre dans les locaux de l’institution boursiere au Plateau.

Le DG de la BRVM, M. Edoh Kossi Amenounve accompagné de certains de ses collaborateurs s’est appesanti sur la mission accomplie par la Brvm qui consiste à mobiliser des capitaux à long terme pour le financement des économies « La mission clé de la Brvm. Se résume à mobiliser des capitaux à long terme pour le financement des économies », a-t-il dit.

Le Directeur de la Brvm n’a pas manqué de faire des précisions sur le fait que la Brvm depuis 2007 -2008 suit véritablement la question de l’accès aux logements en Côte d’Ivoire et en Afrique en y réfléchissant aux mécanismes éventuels de financement et de refinancement des Banques afin de leur permettre d’être plus opérationnelles dans le financement des projets immobiliers . « sur la mise en place des mécanismes de refinancement, le refinancement hypothécaire est un des mécanismes auquel nous avions pensé et qui serait envisageable», a-t-il ajouté.

Non sans manquer de préciser qu’il faut trouver un mécanisme de titrisation qui permette de saisir les actifs immobilier du bilan des banques.

Par ailleurs, le Dg de la Brvm concernant la question du financement, a proposé entre autres le refinancement hypothécaire qui fonctionne sur le schéma de la caisse de refinancement française, la titrisation, l’émission d’obligation sécurisée, comme cela se fait en Allemagne.

« La caisse régionale de refinancement hypothécaire fonctionne pour l’instant pour le financement de l’accès à l’habitat », a dit le DG Edoh Amenounve.

Le patron de la Brvm, en plus de ces solutions qu’il suggère la mise en place en place d’un fonds commun de placement en immobilier.

« Il faut regarder par exemple le fonds commun de placement en immobilier .cela se fait à Casablanca, au Maroc. On doit pouvoir obtenir de l’Etat une défiscalisation des fonds communs de placement et voir s’il y a une législation aux côtés du comité de l’épargne publique », a suggéré, le dg de la Brvm.

Le président Siriki Sangaré a saisi l’occasion de cette cérémonie, pour faire un bref bilan des activités de la Cnpc-ci au cours de l’année 2016.

Non sans manquer de traduire la reconnaissance de la Cnpc-Ci au Directeur général de la Brvm , pour avoir accepté promptement de la recevoir , pour cet échange sur la mission et les activités de sa structure ainsi que des mécanismes de financement possibles pour les projets immobiliers à l’endroit des promoteurs et constructeurs immobiliers affiliés à la Cnpc -Ci .

Siriki Sangaré avec ses collaborateurs de la Cnpc-ci, ont apprécié à sa juste valeur, le brillant exposé du dg Edoh kossi, en ajoutant que, « la Chambre nationale des promoteurs et constructeurs agréés de C-I avec les promoteurs et constructeurs qui la composent ont pour matière première, le foncier. D’où toute ma satisfaction ainsi que celle de la Cnpc -ci à travers cet échange pour renforcer et apprendre davantage sur toute la mission que le Cadastre accomplit pour l’impôt foncier dans notre pays ».

La Cnpc-Ci et la Brvm ont promis dans les prochains jours, de renforcer leurs liens afin de créer une plate-forme d’échanges. Puisque pour Siriki Sangaré, « la Brvm est incontournable pour la mobilisation de tout capitaux à long terme nécessaires à nos économies. C’est pourquoi les promoteurs-constructeurs immobiliers que nous sommes envisageons de renforcer nos liens pour parvenir à un bon mécanisme de financement et refinancement. Nous en sommes satisfaits», a-t-il dit.

Une photo de famille a mis un terme à cette enrichissante séance de travail entre la Cnpc-Ci et la Brvm.

Coopération sino-ivoirienne : le Secrétaire d’Etat Mamadou Touré pose la première pierre d’une école chantier de BTP à Grand Bassam

Le Secrétaire d’Etat à la Formation professionnelle et à l’Enseignement technique Mamadou TOURE a présidé le vendredi 05 mai, à Grand-Bassam, la cérémonie de pose de la première pierre d’un centre d’apprentissage en réseau.

Fruit de la coopération sino-ivoirienne, ce projet est un chantier-école destiné aux jeunes apprenants dans les métiers du BTP et sera bâti sur le site de la MINGDA OPES HOLDING.

Après avoir félicité M. Siriki SANGARE, patron de OPES HOLDING et ses partenaires chinois pour ce projet innovant, le Secrétaire d’Etat Mamadou TOURE a indiqué que « ce chantier-école d’un haut niveau de technologie permettra aux jeunes d’apprendre en travaillant ».

Se félicitant de ce que cette initiative s’inscrit dans la droite ligne de la politique de formation-emploi du premier ministre Amadou Gon Coulibaly, il a émis le vœu que les écoles de formation en Bâtiment et Travaux Public de la Côte d’Ivoire bénéficient de l’expérience du consortium chinois, JIANGS impliqué dans la réalisation du projet.

« Je dis aux jeunes d’accepter de se former. On peut se former en travaillant. Il faut mettre la conscience professionnelle, l’assiduité dans le travail’ », a-t-il conseillé aux jeunes ivoiriens.

En présence de la chefferie traditionnelle du village de Modeste représentée par son secrétaire général Arsène Kimou Kouamé et des partenaires financiers, M.Siriki Sangaré, PDG d’OPES Holding a salué l’excellence de la coopération sino-ivoirienne dont une des matérialisations se traduit par le présent projet.

« A travers ce projet de Mingda Opes Building , l’Ecole se déplacera sur les chantiers pour la formation de nos jeunes pour l’apprentissage des métiers Btp. Ce site de Grand-Bassam , à Modeste est l’un des chantiers Ecole dans le cadre du projet Cfa-R», a dit Siriki Sangaré.

Interview – Sangaré Siriki, patron de Opes Holding : « 700 mille logements manquent aux besoins du marché »

Sangaré Siriki fait partie des bâtisseurs de l’économie ivoirienne. Il est un champion dans le secteur de l’immobilier en Côte d’Ivoire. L’IA est allé à sa rencontre pour faire le point sur le programme des logements sociaux lancé par le Président Alassane Ouattara. C’était à ses bureaux situés à Abidjan-Cocody, Rue Cannebière.

Monsieur le PDG de Opes Holding, peut-on affirmer que pour vous, les années passent et se ressemblent. Les distinctions pleuvent sur vous depuis votre entrée dans le secteur de l’immobilier en Côte d’Ivoire (Ndlr : en 2012) : Paris, Tunis, Abidjan etc…Quel est le secret de ce Success story ?

Depuis 2012, nous avons entamé le début d’un long parcours. Nous sommes rentrés dans la construction et la promotion immobilière parce que faisant l’état des lieux, nous avons remarqué que la Côte d’Ivoire a un déficit très chronique de logements : en gros 700 000 logements. De façon conjoncturelle et structurelle, il faut 50 à 60 000 logements par an. Nous avons tout de suite compris que seul le travail peut nous amener à réduire ce déficit. C’est pour cette raison qu’avec tous mes collaborateurs à Opes Holding et avec aussi l’appui institutionnel, nous avons travaillé d’arrache-pied pour sortir les résultats que tout le monde voit aujourd’hui. Donc le secret de ce Succes story est le travail. Le seul trésor que nous avons, c’est le travail. C’est le secret de la réussite.

Le ministre de la Construction, du Logement et de l’Assainissement, Claude Isaac Dé, a fait du projet de construction des logements sociaux, l’une de ses priorités depuis son arrivée à la tête de ce ministère. Lors d’une récente rencontre avec les acteurs du secteur, il a mis les pieds dans le plat en vous disant que vous n’avez plus droit à l’erreur et que tous les obstacles doivent être levés afin d’accélérer le projet de construction des logements sociaux. Considérez-vous ces propos du ministre (que vous-même avez qualifié d’échanges francs), comme un challenge ou comme un échec ?

Avant de répondre à votre question, permettez-moi de remercier d’abord le Président de la République, SEM Alassane Ouattara, qui a eu la volonté politique de lancer le programme de logements sociaux. Depuis son arrivée au pouvoir, il en a fait l’une de ses priorités. Au départ, il s’agissait de réaliser 60 000 logements sociaux, économiques et standings. Et par la suite, cette volonté politique s’est mise en pratique. Bien évidemment, la construction d’une maison est l’aboutissement d’un processus. Il faut d’abord créer le cadre institutionnel qui permet de faire des réformes très strictes et rigoureuses pour assainir la filière. C’est ce qui a été fait. Cela a commencé sous la ministre Nialé Kaba. Elle a introduit ces réformes qui étaient axées sur le foncier, le financement et puis la fiscalité. Nous avons appelé ces réformes-là, la ‘’loi des 3 F’’. Pourquoi le foncier ? Tout simplement parce que c’est notre matière première. Si le foncier n’est pas sécurisé, c’est impossible de faire des logements. C’est le premier élément de gage auprès des banques pour les levées de fonds. Et les investisseurs doivent voir comme un indicateur, l’accessibilité à la propriété foncière de manière sécurisée : c’est-à-dire les titres fonciers. Donc il fallait réduire le temps administratif pour l’acquisition de ces terrains et sécuriser au maximum. On va y revenir ! Maintenant ces réformes étant lancées, le ministre Mamadou Sanogo a pris les commandes. Il en a fait une priorité. L’ancien ministre a aussi axé son travail sur la réalisation de ces logements. Et par la suite, nous avons eu le ministre Gnamien Konan qui a pris le relais et qui a travaillé.
L’arrivée du ministre Claude Isaac Dé à la tête du département ministériel est salutaire. Il a fait, avec nous, l’état des lieux. Il y a eu des insuffisances. Bien entendu aucune œuvre humaine n’est parfaite. Le ministre Issac Dé étant là, il a voulu rectifier certains tirs pour que nous puissions arriver aux objectifs fixés par le gouvernement. C’est-à-dire 150 000 logements. Nous connaissons bien son parcours : c’est un technicien, un ingénieur. Il est de la maison et il sait de quoi il parle.

Dans ce langage franc, l’État a sa part à jouer. Les promoteurs ont également leur part à jouer. L’État doit nous permette d’avoir du foncier sécurisé, avoir les ACD dans de brefs délais, les permis de construire aussi. Mais surtout, l’État doit faire des VRD (Voiries, des Réseaux) primaires, pour que l’accès à nos logements soit facile. Il a pour rôle essentiel de sécuriser le foncier. Il doit envoyer sur nos sites, l’eau et l’électricité. Par la suite, l’État doit mettre en place une politique d’exonération liée à une fiscalité intéressante pour que les logements sociaux soient une réalité. Car ils visent une certaine tranche de la population à revenu très faible. Ces conditions doivent donc être réunies pour que nous puissions sortir effectivement de terre des logements sociaux. Nous avons discuté de tout cela avec le ministre. Il a pris bonne note et il a promis que l’État va jouer son rôle. Les promoteurs aussi. Je ne peux parler d’échec ni de réussite mais je dis, les logements sociaux sont une réalité. Évidement il y a des insuffisances qui subsistent que nous sommes en train de corriger.

Le quota de 150 mille logements sociaux n’a pas encore été atteint. Pourquoi ce retard dans la livraison des logements ?

Je vais tout de suite rectifier ! Ce n’est pas 150 000 logements sociaux, mais 150 000 logements composés comme suite : 60 000 logements sociaux, 18 000 LEM (Lotissements à équipement modéré), 42 000 logements économiques et 30 000 logements standings. C’est pour montrer que l’État ne vise pas seulement que les cas sociaux, mais il veut loger un peu tout le monde pour réduire le déficit de logements. Donc le retard s’explique : il y a des réformes courageuses qu’il fallait faire pour assainir le secteur. Ensuite, l’État devait trouver les moyens de faire sa part, c’est-à-dire sécuriser le foncier et le mettre à disposition. Il y a des décrets qui ont été pris dans ce sens là. Il y a eu l’amélioration de la purge des droits coutumiers, car il faut désintéresser les propriétaires terriens, même si constitutionnellement la terre appartient à l’État. Cette purge des droits coutumiers a fait l’objet d’un décret dans lequel l’État nous demande de payer 2000 FCFA le mètre carré dans la zone d’Abidjan et banlieue. A l’intérieur du pays, ça va de 600 à 1500 FCFA le mètre carré.
Maintenant pour qu’on puisse rapidement livrer les logements, il faut faire les VRD primaires. C’est très difficile pour avoir accès à certains endroits aujourd’hui. L’État doit donc faire des routes, amener l’eau et l’électricité. Par ailleurs, les catégories de personnes qui doivent avoir ces logements ont été définies. L’État est en train de refaire une base de données avec le ministre Claude Isaac Dé. Il faut que cette base de données reflète réellement ceux qui ont droit aux logements. D’ailleurs, le CEFAL a été mis en place pour recenser etc…Une fois ces choses faites, tout va repartir très bien. L’État est en mesure de faire les choses.

Il y a aussi le problème des financements. Lorsqu’on est dans ce secteur de logements, il y’a deux types de financement qu’il va y voir : le financement du crédit-promoteur et le financement du crédit-acquéreur. C’est très difficile pour les banques locales de suivre le programme, car quand on parle de 150 000 logements cela demande beaucoup d’argent. L’État devrait mettre en place un mécanisme de financement pour accompagner les promoteurs, comme en Tunisie, au Maroc, en Algérie… Dans ces pays, le mécanisme de financement est lié à un fonds de garantie. Alors que dans les pays subsahariens, le taux de bancarisation est assez faible. En Côte d’Ivoire, c’est 15%. Et des personnes qui sont dans les banques ici n’ont pas de quotité cessible pour pouvoir acheter des maisons. Ce qui est très difficile. Donc pour accompagner ces personnes et d’autres du secteur informel qui n’ont pas de revenus stables, il faut mettre en place un fonds de garantie. Ce fonds permettra de prendre le relais, mais il y a des mécanismes qui existent déjà ici. Il y a le CDMH qui est le Crédit de Mobilisation de l’Habitat. Il a aussi le FSH (Fonds de soutien de l’habitat). Il y a également des accords de la Banque mondiale qui peuvent prendre le relais. Ces deux structures qui sont le CDMH et le FSH ont pour rôle d’accompagner les acquéreurs. L’État alimente leurs comptes et les banques locales qui participent au programme se refinancent auprès d’eux à des conditions redéfinies à un taux très intéressant. Cette situation permettra aux acquéreurs d’avoir des maisons à 5, 5 % de taux. Et il faut ajouter qu’il faut des financements longs, au moins 15 ans. Cela va soulager…

Alors pour lever complètement tous ces blocages aujourd’hui, il faut faire de la location-vente. Quand on parle de logements sociaux, on parle de personnes aux revenus très faibles. Le Président Houphouët avait lancé, entre 1960 et 1980, un vaste programme social notamment les logements sociaux. À cette époque c’est vrai, la Côte d’Ivoire était soutenue par les recettes du café-cacao. Vous vous rappelez qu’en 1975, le pays avait fait un excédent budgétaire 1000 milliards FCFA. Ce qui a permis de financer tout ce programme. Malheureusement en 1980, il y a eu la conjoncture qui s’est transformée en programme d’ajustement structurel. L’État était donc obligé de respecter les injonctions des bailleurs de fonds. Vous vous rappelez d’ailleurs que le Président de la République actuel, SEM Alassane Ouattara, est venu en 1990 pour assainir les finances publiques. Au départ il était président du comité interministériel et par la suite Premier ministre pour appliquer les réformes. Il a été demandé à l’État de se désengager de toutes les sociétés d’État et de permettre au secteur privé de prendre le relais. C’est pour ça qu’il y’a eu la SICOGI, la SOGEPHIA…et il y a eu des locations-ventes. Je pense qu’aujourd’hui pour satisfaire le maximum de demandeurs, il faut faire des locations-ventes. Il y a aussi des mécanismes qu’on peut mettre en place, ce sont des mécanismes de VEFA. C’est-à-dire Vente en l’état futur d’achèvement ou le BEFA, qui est le Bail en l’état futur d’achèvement. L’un ou l’autre permettra au secteur financier d’accompagner le programme. L’État , par la suite, doit faire des efforts du point de vue fiscalité : des exonérations qui accompagnent le programme.

Que répondez-vous aux Ivoiriens qui attendent toujours de recevoir leurs clés, leurs logements (sociaux) ?

Construire une maison, c’est l’aboutissement d’un processus. Il y a des personnes qui ont souscrit et d’autres qui ont même fini de payer et qui attendent leurs clés. Quand le ministre Isaac Dé est arrivé, il a fait l’état des lieux. Donc l’état des lieux c’est : quels sont les sites qui ont besoin de VRD primaires ? Tu ne peux pas remettre les clés à un souscripteur dans un site où l’assainissement n’est pas bien fait. Il faut que les canalisations d’eaux pluviales et d’eaux usées soient bien faites. Donc l’objectif est de sortir des maisons et des habitats à des endroits fiables et viables. Il y a des normes environnementales à respecter. Le ministre fait des mains et pieds pour que cette partie soit réglée et les clés seront remises. Au-delà de tout ça, je pense qu’il y a déjà eu une programmation. Le ministère par la voix autorisée du ministre donnera un programme très rapidement. D’ici au mois prochain, il y aura la remise des premières clés. Donc les Ivoiriens peuvent être confiants. Des sacrifices ont été faits, il y a eu des insuffisances dans le programme, que nous reconnaissons. Aujourd’hui, le Premier ministre, SEM Amadou Gon Coulibaly, avec le ministre de la Construction, du logement et de l’assainissement sont en train de mettre en place toute cette partie de VRD primaires pour pouvoir livrer des maisons.

Il y’a le site de Songon qui fait à peu près 500 hectares. C’est énorme ! Ça sera une nouvelle ville qui demande beaucoup d’investissements. Il y’a Bingerville qui est pratiquement fini. Les assainissements ont été faits là-bas. Le ministre a demandé que les maisons soient certifiées par des laboratoires locaux. Ce qui est en train d’être fait. Et il y aussi Bassam où l’assainissement est un peu plus compliqué. Parce que, lorsque l’autoroute est passée, et il y’a eu un décalage avec niveau de l’eau. L’eau coule dans le sens inverse. Une solution technique est en train d’être trouvée à ce niveau. Les Ivoiriens peuvent continuer de croire au programme. Il n’y a que des problèmes techniques à régler aujourd’hui. Nous allons bientôt lancer une campagne pour expliquer aux uns et aux autres quelles sont les nouvelles mesures qu’on va prendre pour rapidement satisfaire tout le monde.

Quelle est la situation en ce qui concerne les souscripteurs de Opes Holding ?

Les souscripteurs de Opes Holding n’ont pas de problème. Il y a certains qui ont reçu des remises de clé provisoires et qui attendent que le gouvernement vienne officialiser. Nous avons pratiquement fini toutes nos maisons. Les VRD secondaires ont été faites. Il y a l’amenée d’eau et d’électricité. Donc en ce qui concerne nos souscripteurs, il n’y a pas de problème. Nous avons même entamé la phase des standings. La cité Opes Holding à Bingerville, c’est 516 maisons. Nous avons 1000 à 1500 souscripteurs. Nous sommes en train de commencer une nouvelle cité sur la route de Bassam. Les autres souscripteurs pourront évidement bénéficier des autres chantiers. Dans notre programme, c’est de pouvoir très rapidement mettre en place 1000 à 1500 logements par an avec les nouveaux partenaires que nous avons. Ils sont arrivés de la Turquie, de la Chine, d’Italie et de la Tunisie. Opes Holding a tout un programme pour satisfaire ses souscripteurs.

Où en êtes-vous avec les différents projets de la Chambre nationale des promoteurs et constructeurs agrées de Côte d’Ivoire que vous présidez ?

Le rôle de la Chambre est de créer un rapprochement entre tous les promoteurs et les constructeurs, pour qu’ensemble nous puissions représenter une force. Lorsqu’on construit des maisons, on ne fait pas les mêmes économies de chaînes. Nous nous sommes alors regroupés dans cette Chambre pour pouvoir bénéficier auprès des bailleurs de fonds, des institutions et des partenaires, des contrats et des financements pour la Chambre. Ce qui nous permettra de représenter un volume plus important et de faire des discussions plus intéressantes. Nous avons mis des cellules en place au niveau de la Chambre, pour des recherches de financement et de partenaires…Elles fonctionnent très bien. D’ailleurs, il n’y a pas que des promoteurs et des constructeurs dans la Chambre, il y a également des financiers, des banquiers. Il y a aussi des représentants d’investisseurs étrangers. Aujourd’hui, elle a un rôle de recherche de financement et de mise en place d’un plan d’exécution rapide d’un maximum de logements pour les Ivoiriens.

Il est très important de rappeler qu’on a besoin de main d’œuvre qualifiée. C’est vrai qu’on a des ouvriers sur les chantiers mais, ils n’ont pas la qualification requise même s’ils ont fait des études théoriques pour cela. Au niveau de la Chambre, nous avons mis en place une cellule de formation qui est en train de nouer un partenariat avec le BTP, qui est une fédération de bâtiment à Saint Etienne en France, pour la mise en place des CEFA (Centre de formation des apprentis en réseau). Cela va permettre de créer des emplois, de renforcer les capacités sur place ici en Côte d’Ivoire. Ce sont des écoles-chantiers. Les manœuvres qui sont sur les chantiers seront directement formés et embauchés en même temps. Cela va réduire le chômage. L’objectif de la Chambre est de rendre ses ouvriers plus performants.

Quel est votre regard sur le secteur de l’immobilier en Côte d’Ivoire ? Y-a-t-il des raisons d’espérer ?

Oui, il y a des raisons d’espérer. Quand le bâtiment va bien, tout va bien ! Nous devons espérer mais nous devons tout faire pour que le secteur de l’immobilier réussisse. C’est pour ça que nous nous battons et nous allons nous battre pour que l’État et nous, réussissions.

Que pensez-vous du scandale de l’Agro-business qui défraie la chronique ?

J’ai suivi de loin l’affaire de l’Agro-business. C’est un modèle d’affaires que je ne ferai pas. Il y a un minimum de règles dans les affaires que nous faisons. Quand le RSI (Retour sur investissement) dépasse un certain montant, cela devient critique. Mais je ne critique ni les promoteurs, ni les souscripteurs encore moins l’État dans ce scandale. Je pense qu’il faut trouver un compromis entre les différents acteurs pour que tout se passe dans les meilleures conditions.

Êtes-vous un homme riche ?

Je suis riche dans ma pauvreté. Pour moi la richesse, ce n’est pas le bien matériel, ce n’est pas d’avoir un compte en banque bien garni, mais c’est d’aider son prochain. L’homme qui est riche, est celui qui partage. Je me sens riche lorsque je sens que ceux qu’on aide à avoir des maisons, ceux qu’on forme, qu’on aide dans la vie, sont contents.
Etre riche, c’est partager avec son prochain.

Réalisée par TAB avec JT.

8e Edition des Bâtisseurs de l’économie africaine : une trentaine de personnalités distinguées à Abidjan

La 8éme édition du Forum des bâtisseurs de l`économie Africaine s`est tenue en présence de plusieurs personnalités venues de la Côte d’Ivoire, de la sous-région, des Usa avec pour thème« « La jeunesse, enjeu majeur de la transformation économique et sociale de l’Afrique »

Une trentaine de bâtisseurs de l’économie africaine dont le Président de la CGECI , Jean-Marie Ackah ,le Ministre Robert Beugré Mambé , le Ministre Saliou Touré, le Pdg d’Opes Holding, Siriki Sangaré, le Pdg de Voodoo Group, Fabrice Sawégnon, Dr Jean-Marc Anga, Directeur Executif de l’Organisation internationale du Cacao , DG de Millenium Group, Mathews Taapopi Hamutenya,Tania Hangula, Présidente de la Banque de Développement de Namibie, Akon Lighting Africa etc., ont été distingués dans la nuit de vendredi 28 avril 2017 à Abidjan, au cours de la 8è édition des Bâtisseurs de l’économie africaine.

A travers une somptueuse cérémonie ,outre la Côte d’Ivoire, les lauréats sont venus notamment de la Namibie, des USA ,du Gabon, de Madagascar,,du Kenya, du Burkina Faso, pour célébrer l’excellence et susciter des vocations à travers des modèles de réussite qu’ils constituent , au cours d’un Gala de prestige à l’espace Latrille Events, qui a réuni un parterre de près de 600 convives triés sur le volet. Dont la trentaine qui ont été distingués pour leurs états de service et leur implication pour l’essor économique, social, intellectuel, culturel de l’Afrique.

Pour M. Samaké , Représentant le parrain ,le ministre ivoirien de l’Economie numérique , de la Communication et de la Poste,, Bruno Nabagné Koné, au nom dudit ministre ,a affirmé que ‘’le ministre Bruno koné accorde du prix et de l’interêt aux Bâtisseurs de l’Economie avec Michel Russel Lohoré fait beaucoup pour la promotion de l’économie africaine ».

Pour Michel Russel Lohoré, Promoteur et Pco des Bâtisseurs de l’economie Africaine « ce plateau est celui des meilleurs acteurs de l’économie du continent. C’est la plus grande tribune de consécration des hommes et des femmes qui portent par leurs actions le présent et le futur du continent». Et d’ajouter que cet événement précurseur dont la 1ère édition a eu lieu le 8 septembre 2006 au Palais des congrès de l’hôtel Ivoire, à Abidjan, « contribue à la promotion de la Côte d’Ivoire à l’international » avec la présence dans la capitale économique ivoirienne de ce que l’Afrique (et ses diasporas) compte de personnalités des plus influentes dans le développement du continent.
Cette 8ème édition de l’événement annuel « Les Bâtisseurs de l’économie africaine » (African Economy Builders Awards) qui bénéficiait du Haut patronage du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly, est un rendez-vous qui met en lumière l’attractivité économique de la Côte d’Ivoire par la participation des sommités du monde des affaires, du management, de la finance, de la politique en Afrique.

D’autant plus que la thématique autour de laquelle les intervenants ont partagé leurs expériences à travers un Forum de 300 participants, la matinée du 28 avril, a tourné autour du thème majeur de ce Forum, « La jeunesse, enjeu majeur de la transformation économique et sociale de l’Afrique », qui est d’une pertinence et d’une actualité criante pour les 54 Etats du continent africain. D’ou les propos d’un des lauréats et intervenant lors des panels, Siriki Sangaré, Prix du Meilleur Promoteur des Logements Sociaux, à cette 8e Edition des Bâtisseurs de l’Economie, « l’Afrique regorge de talents , notre jeunesse doit continuer de s’engager dans l’entrepreunariat et l’initiative privée en croyant en elle », tout en décernant son Prix au Professeur Saliou Touré qui fut un modèle de réussite pour lui ,« Je dédie mon prix au Pr Saliou Touré qui fut mon prof de Mathématiques lorsque j’étais Etudiant à l’Ufr de Math-Physiques. C’est un modèle pour moi », a-t-il dit.
Initiée en 2006, cette manifestation dénommée « les Bâtisseurs de l’économie africaine », a pour objectif de distinguer et promouvoir les entrepreneurs, les hommes d’affaires, les chefs d’entreprise, les entreprises et institutions économiques et financières africaines les plus méritants, les meilleurs talents de la diaspora africaine ainsi que des investisseurs internationaux d’envergure.

C. K.

La Chambre nationale des Promoteurs et Constructeurs de Côte d’Ivoire échange avec le Guichet Unique du Permis de construire

La Chambre nationale des Promoteurs et Constructeurs Agréés de Côte d’Ivoire compte davantage s’imprégner des réalités dans le processus de délivrance du permis de construire et tous les actes y afférents en Côte d’Ivoire avec tous les enjeux que recouvre cet acte essentiel dans la chaîne de l’immobilier. A cet effet, une importante rencontre a eu lieu ce mercredi 19 avril au siège du Guichet Unique du permis de construire (GUPC), à Cocody-Les II Plateaux.

Le Directeur du GUPC, M. Sidibé Lanciné s’est appesanti sur le rôle et la mission accomplie par sa structure ( qui existe seulement depuis le 29 avril dernier) dans la délivrance de tous les actes liés au permis de construire . Au nombre desdits actes, il y a entre autres, le certificat de conformité , certificat d’urbanisme , les autorisations de construire avant l’obtention du Permis de construire , les Visas Cie, Sodeci etc. C’est pourquoi pour Sidibé Lanciné, « la seule porte d’entrée pour l’obtention du permis de construire est le Guichet unique du permis de construire». Le Directeur du GUPC n’a pas manqué de souligner que « le Gupc regroupe tous les acteurs qui interviennent dans la chaîne de délivrance du permis de construire » .Mieux, a-t-il ajouté ,« le permis de construire s’obtient en un mois , avec 10 jours pour la première étape et 16 jours pour la seconde étape, selon le process mis en place. Le délai de traitement du permis de construire ne dépasse pas 3 semaines »

Le Directeur du Gupc n’ a pas manqué de préciser qu’avant la délivrance de tout permis de construire, il y’a une visite sur le site ou chantier concerné par ledit Permis de construire par ses services tout en ajoutant que chaque commune d’Abidjan est représentée au sein du Gupc tout comme le District d’Abidjan, dans le dessein de garantir une meilleure transparence et traçabilité dans la délivrance du Permis de construire en référence au plan d’urbanisme en vigueur tant à Abidjan , ses environs que pour l’intérieur du Pays.

Mais avant, M. Siriki Sangaré, le président de la Chambre nationale des Promoteurs et Constructeurs Agréés a fait, pour sa part, un bref bilan des activités de la Chambre au cours de l’année 2016. Selon lui, la Chambre a eu une année riche en activités avec entre autres, l’organisation de la 1ère édition du Forum international du logement social, économique et de standing (FILOSES), dont la seconde édition est prévue pour 2018, la signature de plusieurs conventions et accords de partenariat.

M. Sangaré a également dit sa gratitude et sa reconnaissance au Directeur du Guichet unique du permis de construire ,Sidibé Lanciné , pour avoir accepté promptement de recevoir la Cnpc-ci pour cet échange sur le rôle, la mission et les activités du Guichet unique du Permis de Construire .

En outre, il dit avoir apprécié à sa juste valeur, le brillant exposé du directeur du Gupc, en ajoutant que « la Chambre nationale des promoteurs et constructeurs agréés de C-I avec les promoteurs et constructeurs qui la composent ont nécessairement besoin de permis de construire délivrés dans les délais prescrits par le Gupc, afin de leur permettre d’engager des dossiers de sollicitation de financement et de sécurisation des constructions des logement et habitat qu’ils entreprennent tout en s’assurant d’être à l’abri de tout contentieux lié au foncier et à l’autorisation reconnue par le Mclau à pouvoir mettre en valeur nos sites » . D’où toute ma satisfaction ainsi que celle de mes collaborateurs à travers cet échange pour renforcer et apprendre davantage sur toute la mission accomplie par le Guichet Unique du Permis de construire dans la délivrance du permis de construire ».

Une visite guidée des locaux du Guichet unique du permis de construire dirigée par son Directeur Sidibé Lanciné a mis un terme à cette séance de travail fort enrichissante à l’issue de laquelle le président Sangaré et le directeur du Gupc ont promis de maintenir les liens entre leurs deux structures.

Pour rappel, c’est en février 2015, que la Chambre nationale des promoteurs et constructeurs agréés de Côte d’Ivoire a été portée sur les fonts baptismaux avec comme président Siriki Sangaré. Et elle compte à ce jour, plus d’une quarantaine d’entreprises de promotion, construction immobilière et d’entreprises de fabrication de matériaux de construction.

Sercom Cnpc-ci

Femua10/ Signature de partenariat entre la Fondation Magic System et Opes Holding

Le jeudi 30 mars 2017 (Abidjan). Une convention de partenariat entre la Fondation Magic System et Opes Holding a été signée en présence de plusieurs personnalités dont le président de Gaou Production , organisateur du Femua , qui en est à sa 10e édition, Traoré Salif dit A’salfo et Siriki Sangaré, PDG d’Opes Holding, Promoteur et Constructeur Agréé .

A cette occasion, Siriki Sangaré , PDG d’Opes Holding et Président de la Chambre nationale des Promoteurs et constructeurs agréés de Côte d’Ivoire a tenu à signifier l’intérêt que sa structure porte à la fondation Magic System en général et au Femua en particulier .

« Nous avons décidé à travers la signature de ce partenariat avec la fondation Magic system d’accompagner le Femua parce que ce festival non seulement est un espace privilégié pour promouvoir les projets culturels, sociaux, artistiques envers des couches les plus défavorisées mais c’est également un festival qui mobilise de plus en plus de personnes et réponds à la politique sociale d’opes holding. Nous sommes heureux à travers ce partenariat, main dans la main avec Asalfo de participer à l’amélioration des conditions de vie de nos populations à travers un centre de santé à M’Bengué qui verra le jour et un logement social ici à Abidjan.»,a confié Siriki SANGARE.

Poursuivant, il a dit que sa structure accompagnerait le Femua permanemment car « ce partenariat est pour toujours, pour l’interêt de nos populations, à qui nous accordons du prix et de la cosidération », a –t-il affirmé.

Quant à Traoré Salif dit Asalfo, lead vocal du groupe Magic System et Président de la Fondation Magic System ,visiblement satisfait de ce partenariat, il n’a pas manqué de souligner « que le Femua est le festival qui continuera à travers des actions sociales , culturelles et artistiques à prendre une part active à l’amélioration des conditions de vie des populations surtout celles qui sont les plus vulnérables à travers l’exécution de projets sociaux comme la construction d’école , de dispensaire , d’hôpitaux , l’accès au logement etc … Et en la matière , Opes Holding ,structure de promotion et construction immobilière agréé par l’Etat Ivoirien , nous donne de la satisfaction en signant ce partenariat avec la Fondation Magic System … » puis d’ajouter qu’Opes Holding « se pose désormais comme un partenaire clé du Femua et de toutes ses organisations. Bientôt nous sommes convaincus qu’avec Opes Holding, le centre de santé de M’Bengué sera une réalité », a dit Asalfo, au nom de sa Fondation.

Précisons à toute fin utile que la signature de cette convention de partenariat a enregistré la présence des proches collaborateurs d’Asalfo de la fondation Magic System tout comme ceux du PDG d’Opes Holding, qui était aux côtés du PDG Siriki SANGARE.

Opes Holding SA et Ikdam Turc CI SA signent un protocole d`accord

Réduire le déficit de logement en Côte d’Ivoire, tel est l’objectif du protocole d’accord signé par les sociétés Opes Holding SA et Ikdam.Turc CI.SA ce mardi 3 janvier 2017 au siège de Opes Holding SA à Abidjan.

Sangaré Siriki, PDG Opes Holding SA et Murtaza Okumus PDG de la société turc se sont engagés sur une période préférentielle de 15 ans à collaborer dans le domaine de la construction d’environ 50 mille logements tant dans la capitale ivoirienne qu’à l’intérieur du pays.

Pour Sangaré Siriki, ce partenariat a été possible grâce à la volonté des chefs d’Etats turc et ivoirien, qui à travers leurs différentes visites dans les deux pays respectifs ont permis aux hommes d’affaire d’envisager ce type de partenariat. « Avec Ikdam.Turc CI.SA Hopes Holding va accroître ses innovations dans le domaine de la construction » a précisé Sangaré Siriki.

Quant au responsable de Ikdam.Turc CI.SA , il s’est dit satisfait de la signature de ce protocole avec Hopes Holding qui s’est bâti une grande réputation en Côte d’Ivoire à travers de nombreux projets.  » Nous partageons la même vision avec Hopes Holding et nous comptons faire de grandes choses » a déclaré Murtaza Okumus.